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BIENVENUE SUR NEW YORK UNIVERS , le rpg déjanté pour les débauchés . une nouvelle version a été mise en place le 5 aout 2010 -
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 And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH)

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Alona C. Stewart
    LIL LONA ♦ i feel stupid but i wont tell you . just love me , taste me .

Alona C. Stewart


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MessageSujet: And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH)   And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH) EmptyMar 22 Juin - 22:04

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And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH) Mmmmq And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH) 1h2g5v And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH) Ks33110 And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH) 9tz8du
YOU ARE BEAUTIFUL WHEN YOU SMILE, AND AS THE LOVE MAKES JOKES I MUST BE BLIND.

Peut être qu'elle devrait rentrer chez elle ou bien humiliait quelqu'un pour le plaisir mais à quoi cela servirait il, à part à la démoraliser un peu plus ? Elle était blasée de cette journée, il faudrait des milliers de dollars gaspillaient en chaussures pour qu'elle retrouve le sourire. Comme d'habitude, il était prévue que la réunion du club vert finisse vers un petit dix neuf heures le temps que tout le monde réussisse à en placer une mais depuis une semaine, la poisse avait décidé de coller aux talons de la jeune Stewat.
Alors que toute la matinée du vendredi C'était bien passé, il avait fallu que tout change à la deuxième heure de l'après midi. Elle était habituée à se rendre en cours de français le vendredi après midi, elle y allait toutes les semaines avec le même sourire - contente de pouvoir parler sa langue sans être interrompue - , s'asseyait à côté de Jaiden et ils attendaient ensembles la fin de l'heure pour aller toujours ensemble en cours de sport. Seulement il avait fallu que cet imbécile rit un peu trop fort aux yeux du professeur et que ce dernier décide de le changer de place avec un autre élève. Jusque là ça n'a pas trop l'air dramatique, c'est très fréquent pour Alona de se retrouver avec un autre élève que monsieur mallawày mais cette fois ci ce ne fut un de ces accros aux échecs qui se retrouva à côté d'elle mais plutôt un futur Docteur namour ou glamour, faut voir. Très bon choix d'avoir son ex petit ami à côté d'elle en français, surtout qu'ils ne s'étaient pas adressé la parole depuis des mois. « mais m'sieur, on peut se calmer vous savez ! Laissez moi rester à côté de Stewart pour cette fois ci » , avait essayé Jaiden mais ce fut sans succès car monsieur celui-qu'Alona-allait-tuer-dans-son-sommeil l'envoya au fond de la classe. « et après on dit que Dieu existe ? » avait elle pensé en laissant un regard suppliant à son " meilleur ami, petit copain officiel " . Alona avait passé son heure a envoyé des messages injurieux à Jaiden, traitant le professeur de tous les noms qu'elle connaissait en trois langues différentes mais tout était utile pour ne pas affronter le regard bleu de Nathanaël. Et Dieu seul sait qu'elle voulait replonger son regard dans ce bleu ! Enfin il y avait un peu tous ses proches aussi en plus de Dieu mais ce n'est qu'un détail ça.
Le supplice avait duré la moitié du week end où Alona s'était enfermé chez elle, à regarder un vieil album photo jaunit par le temps et avait continué jusqu'au lundi où la belle brune s'était humilié devant Docteur namour. Oui elle avait décidé Docteur namour parce que tout le monde savait que Docteur Glamour était un vrai salaud en mal d'amour et ce n'était pas le cas de Nathanaël qu'elle avait aperçu une nouvelle fois en cours de français en compagnie d'une jolie brune. « en mal d'amour lui ? » , a t elle gromellé devant un Jaiden qui ne comprenait rien. Bien sur ce n'était plus ses affaires mais c'était comme une obsession pour elle depuis vendredi, une mauvaise obsession. Bref, au moment où elle allait arriver à sa place Alona avait tellement appuyé sur son talon - il faut croire que les français sont doués pour dissimuler leur colère - qu'il s'est brisé d'un coup. Heureusement Jaiden était à ses côtés pour la rattraper avant que les gens ne s'en rendent compte mais ce geste maladroit n'avait pas loupé au Ogart numéro un. « t'énerves pas pour ça Calliopée, dis toi qu'il te voit lui tous les jours avec moi. » « m'en fout , regarde la cette bouffone ! quelle conne ces brunes, pff. » « C'est sur que t'as l'air très blonde toi ! » Après deux ou trois jurons en français (bien evidemment!), elle avait fini le cours la tête cachée derrière ses cheveux bruns-chocolat.
Aujourd'hui et heureusement, sa poisse n'avait aucun rapport avec Nathanaël mais plutôt avec un membre de son club vert. Assez remontée à cause de sa mauvaise semaine, Alona avait rétorqué à une petite blondinette que pour arrêter la déforestation, il suffisait de saboter les machines ni vu ni connu. Son interlocutrice lui avait répondu que c'était humainement incorrect de faire ceci mais Alona s'en contre-foutait, tout ce qu'elle voulait c'était que Green Peace fasse un peu mieux son boulot et que elle, elle retourne enfin dans son lit pour regarder la suite de Glee. « mais qu'est ce que tu nous chantes ! bien sur que c'est humainement correct, tu crois que quand on abbat dix arbes avec une seule machine c'est humainement correct ? » « Ce n'est pas parce que certains agissent ainsi qu'on doit en faire de même ! » Alona dissimula sa main droite derrière son dos pour faire un doigt d'honneur discret, elle l'aurait bien claquer dans le mur aujourd'hui cette hippie trop pas assez hippie. Soit on veut sauver les ours polaires, soit on ne veut pas ! Alona attendit une demi heure de plus à écouter les autres débattres de sa proposition puis elle quitta sa chaise quand l'aiguille arriva sur le douze. Dieu existe ! Habituellement, Alona n'aurait pas réagi ainsi mais elle n'en pouvait plus de cette université de malheur et elle en avait assez qu'autant de pièce ici lui rappelle de mauvais souvenirs ; Alona acceléra le pas vers la sortie. Elle courait encore et encore jusqu'à en perdre haleine, ignorant sa cheveulure brune qui collait à son front, jusqu'à ce qu'elle puisse sentir l'air glacé sur son cuir chevelu. Bizaremment il s'était mis à pleuvoir, après des jours de soleil à trente degrès, et ce n'était pas pour l'enchanter. Elle imaginait déjà la tête qu'elle allait avoir avec ce temps, un très beau spectacle !
    « " JAI' IL PLEUT ! " .. " Mais je peux pas attendre une heure , autant rentrer en bus quoi ! " .. " Bah J'ai pas de billets pour un taxi , j'utilise qu'une carte bancaire moi ! " .. " Merci , A tout de suite. Je t'aime! " .. " Oui C'est vrai que J'aime surtout ta voiture mais toi aussi Je t'aime. " .. " D'accord, Je t'attends sous l'abrit de bus " »

Comme par magie, un sourire radieux se fit un place sur le teint halée de la jeune Stewart. C'était dans ces moments comme ça qu'elle se rendait compte à quel point elle avait de la chance de l'avoir, lui son meilleur ami. Elle passa une main dans sa cheveulure brune ayant retrouver la joie, son poux s'était apaisé et elle marchait déjà vers l'abrit profitant de la fraicheur que provoquait la pluie. On aurait pu croire qu'elle flottait tellement elle se sentait légère, comme si elle avait perdu cinq kilos en une semaine ! C'était très frustant la façon dont elle changeait d'humeur, elle arrivait à passer d'une émotion à l'autre toutes les cinq minutes.
Ce ne fut qu'une fois sous l'abrit de bus qu'elle sortit sa casquette Eden Park noir, elle la visa bien fermement sur sa tête avec un air d'enfant qui vient d'avoir un nouveau joujou. Après tout, cette semaine avait peut être du bon .. Comment aurait elle pu avoir une raison de regarder Nathanël plus de trois secondes si il n'avait pas été " obligé " de s'assoeir à côté d'elle ? Et comment aurait il pu arrêter de fanfaronner avec cette brune si son talon ne s'était pas cassé ? Oui tout compte fait, elle avait beaucoup de chance ! Alona était tellement aux anges qu'elle ne s'était pas apperçu qu'une deuxième personne se trouvait elle aussi sous l'abrit de bus. Manqué plus que ça, elle ne pouvait rêvasser ici ?
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Nathanaël E. Ogart

Nathanaël E. Ogart


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MessageSujet: Re: And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH)   And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH) EmptyMer 23 Juin - 16:24

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─ ALONA & NATHANAËL ; I've kissed your lips and held your head. Shared your dreams and shared your bed. I know you well, I know your smell. I've been addicted to you.

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    « Allô ? » ; « ... » ; « Non non, tu ne me déranges pas. Je viens de sortir du cours de guitare. Pourquoi tu m'appelles ? » ; « ... » ; « Oui oui, excuse moi de ne pas t'avoir donné de nouvelles... Mais je vais bien, et Erin aussi. Ne t'inquiète pas. » ; « ... » « Ouais, j'ai passé une bonne semaine. Excuse moi, je te rappelle dans pas longtemps, sinon je vais rater mon bus. Embrasse papa pour moi. Je t'aime, oui. » Sur ces mots Nathanaël pressa la touche rouge de son téléphone portable avant de le ranger dans la poche droite de son jean. Sa mère s'inquiétait vraiment trop pour rien. Il n'avait pas donné signe de vie cette semaine car il avait dû vaquer à quelques autres occupations, ce n'était pas tellement, si ? Tout en marchant vers la sortie de l'université, Nathanaël repensa aux quelques derniers jours qu'il avait vécu. Ces derniers avaient été un peu plus mouvementés que d'habitude...
    Le vendredi après-midi, il s'était rendu à son cours de français habituel et il s'était installé à côté d'un de ses potes, au quatrième rang. Sa chère petite Alona, en revanche, s'était assise aux côtés de son petit ami actuel Jaiden (comme à chaque cours). Depuis le temps, il n'y prêtait plus vraiment attention, quand bien même une pointe de jalousie montrait le bout de son nez lorsqu'il entendait son ex rire avec l'autre con. Et cette fois-ci il y eut des rires un peu trop prononcés qui ne plurent décidément pas au professeur, puisqu'il le fit remarquer à Alona. Dès lors, Nate savait qu'elle allait -encore et encore- changer de voisin. Jamais l'enseignant n'avait encore mit notre jeune homme sur la même table que la demoiselle bavarde (et il en remerciait le bon dieu). Il lui avait toujours préféré les intellos ou les no-life de la classe. Mais il en fut tout autre, ce jour ci. « JAIDEN ! Vas là-bas, tout au fond, à la place de Nathanaël. » À l'entente de son nom, l'intéressé releva subitement la tête et débita un « Pardon ? » de surprise. Fallait que ça tombe sur lui, ouais. « Mais m'sieur, on peut se calmer vous savez ! Laissez moi rester à côté de Stewart pour cette fois ci. » Il pria de toute ses forces pour que le souhait de Jai' soit exaucé, mais apriori, on ne l'entendit pas, puisque la réponse fut un non, et les deux "rivaux" durent échanger leurs places. Nathanaël marmonna un « 'tain, fait chier. », attrapa ses affaires, se leva avec peine et se déplaça jusqu'à la table de la Stewart. A ce moment le cours de français reprit, et ce fut... étrange. Il avait reconnu le parfum qu'Alona mettait, le même qu'à l'époque où il la prenait dans ses bras et où il nichait sa tête dans son cou tout en humant son parfum. Et il avait une envie irrépressible de le refaire. Mais parallèlement à ça, le jeune homme désirait l'étriper quand il voyait les efforts qu'elle déployait pour ne pas le regarder, pour faire comme s'il n'existait pas. Putain, mais comment faisait-il pour avoir des vœux aussi contradictoires ? L'heure se passa ainsi, dans le silence le plus complet. Ou presque. Il entendait furtivement les mots qu'adressait sa voisine à Jaiden et il devinait aussi les gestes qu'elle exécutait.
    Le week-end, notre beau brun n'avait pas tellement eut le temps de repenser à la mésaventure de la veille. Le samedi matin il était parti jogger un peu dans Central Park tandis que l'après-midi il était allé à son cours de piano et avait travaillé un peu. Le soir, monsieur était sorti chez un de ses copain. Le lendemain, Nate s'était fait un peu chier, et c'est surtout dans ces moments-ci que les vagues de nostalgies prenaient d'assaut son esprit. Il avait relu les petits mots doux qu'ils s'envoyaient pendant les cours autrefois, mais les avaient rapidement rangés. Hors de question de se faire du mal à lui même. La journée s'était écoulée très lentement, mais fort heureusement, la nuit vint tout de même le sauver.
    Lundi. Une journée moins ensoleillée que les jours précédents, mais c'était encore passable. Il avait encore français, et cette fois-ci il espérait que mademoiselle bavarde se tiendrait à carreau. Alors que Nathanaël s'était engagé dans le couloir qui menait jusqu'à la salle de classe, une brune qu'il connaissait vaguement l'intercepta. « Hmm, Nathanaël Enzo ? » ; « Oui, quoi ? » ; « J'ai remarqué que ton voisin habituel n'était pas présent, alors... ben, je me suis demandée si... je pouvais me mettre à côté de toi pendant cette heure... » Elle avait rougit et avait baissé le regard. Nath' fit mine de réfléchir, et aperçut Alona avec Jaiden, qui, de loin n'avait pas l'air d'aussi bonne humeur que d'habitude. C'est alors qu'il entendit un "clac" et il en déduisit que c'était le talon de sa belle qui s'était cassé puisqu'il la vit trébucher de façon bizarre. Son preux chevalier servant la rattrapa du bras, elle se reprit et veilla à ce que personne ne l'aie vue... Raté. Leurs regards se croisèrent. Le jeune homme reporta son attention sur la brunette, lui esquissa un sourire avant de lui répondre ; « Pas de problème. »
    Aujourd'hui avait été jusqu'à présent assez monotone. Aucun événement embarrassant ou surprenant n'avait eu lieu. Pour le moment. La pluie stoppa son flash back et le fit revenir à la réalité : il n'avait pas marché dix-mètres depuis qu'il avait raccroché à sa mère. Nom de dieu. Il tira sa manche gauche pour pouvoir regarder l'heure et écarquilla légèrement les yeux lorsque les aiguilles indiquèrent un "douze" et un "7". « Putain, j'ai intérêt à me grouiller si je ne veux pas l'rater, ce bus ! » Tel un super-héro, il sortit un parapluie de son sac, l'ouvrit, se plaça dessous et reparti d'un pas rapide. Il jetait un œil à son horloge miniature à peu près toutes les 5 minutes, mais sa hâte porta ses fruits puisqu'il arriva à temps à l'arrêt de bus. Sauf que, bien sur, qui vit-il, assise et affublée d'une casquette Eden Park ? Alona. Au début, il n'y avait pas crû, il avait prié de toute son âme pour que se soit un sosie et pas celle qu'il connaissait, mais non. C'était bien celle qu'il aimait. Leur regard se rencontrèrent brièvement, notre jeune homme voulut faire comme si de rien n'était... hélas, sa politesse (ou autre chose) prit le dessus. « Salut, Alona. »
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Alona C. Stewart
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MessageSujet: Re: And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH)   And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH) EmptyMer 23 Juin - 20:06

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BUT I DON'T LOVE ME THE WAY THAT YOU LOVE ME 'CAUSE IF YOU DID BOY I WOULD NOT DO THOSE THINGS I DO I KILL YOUR HEART JUST TO SEE IF YOU WILL RISE ABOVE YOUR ANGER AND ABOVE MY LIES ILY.


Qui aurait pu croire qu'après les évènements de ces derniers jours sa journée allait de nouveau empirer ? Alona n'avait pas prêté attention à son entourage quand elle s'était assise sur le petit banc à l'arrêt de bus, elle pensait encore et encore. Oui elle avait été beaucoup trop occupée à se convaincre que le fait de " revoir " Nathanaël n'était pas une mauvaise chose, que ce n'était pas hasard si autant d'évènements s'étaient produits dans un temps aussi restreint. « Non , non et non Alona , vas pas te mettre des conneries dans la tête » , avait elle pensé au moment où elle s'était rendue compte qu'une autre personne était sous l'arrêt de bus. Un soupir s'échappa de sa fine bouche, elle espérait que ce n'était pas un de ces geeks adorateurs de jeux vidéos qui allait lui parler pendant une heure de la défaillance des écrans Led. Non que ça ne l'intéressait pas mais elle préférait légèrement penser à d'autres choses, d'autres personnes ..
Ce fut alors dans un hoquet d'étonnement qu'Alona constata que ce n'était pas un geek sous l'arrêt de bus mais bel et bien le sujet de ses pensées depuis quelques minutes, Nathanaël Enzo Ogart. Bien évidemment comme à chaque fois, une bouffé de détresse l'a prise de court quand elle se rendit compte qu'elle se trouvait seule avec lui. Son hoquet de surprise s'était alors transformé en petit couinement de souris, un couinement très gênant il faut l'avouer. Il lui fallut se racler la gorge pour espèrer retrouver une voix quelque peu normal.
Son regard rencontra très briévement celui de son Nathanaël, ce regard armé d'un bleu toujours aussi fascinant pour la petite française. Alona fut prise d'une sorte de rétrospection en repensant aux yeux du jeune homme, elle se rapellait leurs longues après midi passait dans les bras de l'autre. Lors de ces journées Alona était incapable de détacher son regard du visage de son amoureux : elle se fascinait de ses pupilles bleux quand il avait les yeux ouverts et quand il les fermait, elle se surprenait à énumerait tous les caractéristiques de son visage. Ils étaient heureux en ce temps, tellement heureux qu'elle aurait voulu se gifler à ce moment même d'avoir gacher de si beaux moments. Alona s'obligea à quitter ses souvenirs pour reporter son attention sur Nathanaël, elle savait que sa bonne éducation aurait raison de lui.
    « Salut, Alona » , lui dit Nathanaël au bout d'une minute.

Auncun couinement de souris ne sortir de sa bouche cette fois ci, bien. Elle porta son attention sur ses mains, elle ne tremblait pas et n'était pas prise de frissons, bien. Enfin c'était vite dit, un frisson de bien être la parcourut de la tête au pieds quand elle comprit qu'il venait de lui adresser la parole, lui Nathanaël à elle Alona. Qu'est ce qu'elle aimerait se jeter à son cou pour l'éteindre de toutes ses forces, pour humer son délicieux parfum ! Elle eut un pincement au coeur quand elle comprit que son envie lui était impossible, déconseillé.
    « Salut, Nathanaël »

Son temps avait été le plus calme possible, elle ne voulait pas lui montrer sa frustation. Ce fut au bout de quelques minutes qu'elle s'autorisa à lancer un regard vague vers lui, bien sur il fallut qu'elle rencontre ses yeux bleux et que son coeur s'entre choque de suite. « calme toi Alona , ce ne sont que des yeux bleux ! De simples yeux bleux bien plus beaux que ceux de Jude Law, que ceux de Leonardo DiCaprio et Dieu seul sait que tu aimes Léo ! » , pensa t elle nerveusement. Elle ne s'était pas rendu compte que ses doigts s'étaient d'eux mêmes enroulés autour de quelques mèches brunes, tordant ses pointes quand elle repensait à ces yeux bleus. Elle soupira quand elle constata qu'elle se comportait comme une idiote et décida qu'il fallait " essayer " de détendre l'atmosphère. Et puis après, peut être que cet fin de journée n'allait pas si mal se passer ? Elle prit son courage à deux mains, de toute façon qu'avait elle à perdre et releva le regard vers Nathanaël. C'était bien de prendre des décisions mais que pouvait elle lui dire ?
    « Très beau, le parapluie .. »


Dernière édition par Alona C. Stewart le Lun 5 Juil - 1:32, édité 3 fois
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Nathanaël E. Ogart

Nathanaël E. Ogart


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MessageSujet: Re: And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH)   And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH) EmptyDim 4 Juil - 18:35

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─ ALONA & NATHANAËL ; I've kissed your lips and held your head. Shared your dreams and shared your bed. I know you well, I know your smell. I've been addicted to you.

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    Elle était belle, la Alona. En toutes circonstances, même là, avec ses cheveux emmêlés et décoiffés par le vent et la pluie, ainsi qu'avec ses traits fatigués voire exaspérés. Mademoiselle avait péniblement tourné la tête vers lui et avait débité un hoquet de surprise qui se transforma par la suite en un petit cri de souris (plutôt craquant, avouons-le). Il dut lutter pour ne pas laisser s'échapper un rire amusé. Décidément, elle n'était pas très perspicace. Elle n'avait même pas été capable de reconnaitre sa présence... Alors qu'à l'époque elle y parvenait. Mais il lui pardonna très vite. le regard furtif qu'elle lui lança lui permit de ré-identifier ce visage, ce beau visage qu'auparavant il tenait entre ses mains et qu'il embrassait. Sa petite bouche en cœur, ses jolies petits yeux qui pétillaient de malices, ses pommettes toutes roses... Comment les oublier ? Enfin bref, le détournement de regard de la jeune fille fit revenir Nath' à la réalité : elle n'avait toujours pas répondu à son salut. Comment on appelle ça, aujourd'hui, déjà... ? Un vent ? Ah, oui, c'est ça.

    « Salut, Nathanaël. » lui répondit-elle finalement.

    Ouf, il avait bien crû s'être prit le vent le plus magistral du monde. Ca l'avait presque vexé. En attendant, il remarqua que la voix d'Alona était toujours la même, celle dont il ne se lassait pas d'entendre lui dire "je t'aime". Un flot de souvenirs ne purent s'empêcher de prendre son esprit d'assaut, le plongeant dans une sorte d'état de nostalgie qui lui donnait presque envie de tout donner là maintenant tout suite afin de revivre tous les magiques moments que l'ancien couple avait passé ensemble. Un peu romantique, le Ogart... Mais un sacré problème de communication ne tarda pas à s'installer entre les deux jeunes. Autrement et plus grossièrement dit, un énorme blanc. Avouons que c'est assez gênant, tout de même. Surtout dans leur cas ; deux personnes seules ayant une relation assez complexe. De quoi pouvaient-ils bien parler alors que ça faisait bien des mois qu'ils ne l'avaient pas fait ? Le cerveau du jeune homme se mit à fonctionner à tout rompre, cherchant un sujet de conversation à peu près potable. Mais bien sur il fallait qu'Alona vienne le déconcentrer dans sa laborieuse tâche ; elle plantait de temps à autre son regard dans le sien et ça avait don de le... déstabiliser. Et que pour parfaire le tout, mademoiselle n'avait pas perdu ses mimiques d'antan comme toucher à ses cheveux tout le temps. Ce qui provoquait en Nathanaël le sentiment qu'ils n'avaient pas vraiment rompus ; ou du moins qu'ils étaient restés en contact. Alors que tout espoir de pouvoir discuter avec Alona commençait à s'estomper, c'est la demoiselle qui se jeta à l'eau la première. A la plus grande surprise intérieure de l'ainé Ogart.

    ALONA. « Très beau, le parapluie .. »

    Le jeune homme lui esquissa un de ses plus joli sourire, hocha la tête et leva les yeux vers l'objet central de leur... conversation.

    NATHANAEL. « C'est celui d'Erin, j'ai oublié le mien ce matin. C'est vrai qu'elle a de bons goûts, ma sœur... »

    Et après ça ? Elle allait surement acquiescer ou répondre un truc, mais hors de question de laisser un autre blanc prendre place. Au final, ça l'apaisait un peu de reparler à Alona, même si ce n'était pas super détendu, ni même très profond, mais c'était déjà ça, non ? On se contente de ce qu'on peut. Et puis, elle s'était bien mouillée la première, il fallait qu'il en fasse un peu de son côté aussi. Pitié que le bus n'arrive pas à ce moment là, ça gâcherait vraiment tout.

    NATHANAEL. « Sinon, les cours, la vie, tout le reste, ça se passe bien ? »
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Alona C. Stewart
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MessageSujet: Re: And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH)   And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH) EmptyMar 24 Aoû - 1:58

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And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH) Kristenstewarticon03 And as the love makes jokes I must be blind (LONA&NATH) 9tz8du
ALONA CALLIE STEWART & NATHANAËL ENZO OGART. « Il y a un adage qui dit qu’on fait toujours du mal à ceux qu’on aime mais il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal. » Kstew & RPatz.


La réponse de notre jeune française fut très courte et simple comme à son habitude. Les réponses longues et interminables, ce n'était pas vraiment pour elle. Elle préférait plutôt ce qui était rapide et bref, l'expression des émotions ? Connaît pas. On lui avait souvent demander de changer sa façon de parler, d'être plus expressive dans ses déclarations mais soyons réaliste, qu'est ce qu'elle aurait pu lui répondre de mieux ? " Oh salut toi , comment tu vas ? Ça fait longtemps non ? Depuis la fois où je t'ai gentiment trompé si je me souviens bien ? C'est du passé ça ! " Et après elle se serait levée pour lui faire un accolade amical ? Pure connerie. Alona coupa court à son début de monologue intérieur et reporta son attention sur Nathanaël. C'était fou à quel point il n'avait pas changé .. Tout d'abord il était toujours aussi beau, c'était un fait indiscutable. Puis il y avait cet air posé qu'il arborait quand il ne savait pas comment réagir - un de ces trucs qu'elle trouvait tellement craquant chez lui - qui ne l'avait pas complètement quitté non plus. Et comment ne pas ajouter l'intensité de ses prunelles bleus à la liste de ce qui n'avait changé et qu'elle aimait tant chez lui - dans le domaine physique bien sur. Impossible de décrire leur beauté tellement elle s'y était perdu. Son cerveau avait littéralement cessé de fonctionner au moment où elle avait croisé son regard. Ce à quoi elle pensait il y a quelques secondes ? Aucune idée. Mais ce fut grâce à ce moment d'égarement que la belle n'eut pas remarquer tout de suite l'absence de conversation qui s'était placé entre eux. Bien sur la seule chose qu'elle trouva à dire fut une chose complètement débile. « Très beau, le parapluie .. » Qui aurait l'idée de parler de parapluie à son ex petit ami ? Alona il faut croire. Un sourire discret s'en suivit avant que la jeune brune ne remette ses cheveux en place, chose habituelle venant de sa part. Même si en ce moment ils étaient totalement décoiffés et ondulés à cause de la pluie, c'était automatique chez elle. Au bout de quelques secondes Alona releva la tête vers Nathanaël et son magnifique sourire - un sourire qui lui avait beaucoup manqué c'était sur. En effet le jeune Ogart lui avait sourit pour la première fois depuis des mois, évènement à marquer en rouge sur son calendrier informatique.

« C'est celui d'Erin, j'ai oublié le mien ce matin. C'est vrai qu'elle a de bons goûts, ma sœur... » La Jolie brune acquiesça d'un geste simple de la tête. Elle aurait du s'en douter de celle là, c'était fréquent chez les deux frères et soeurs d'empreinter les affaires de l'autre. Faut bien que la famille serve à quelque chose, enfin. Au bout de quelques minutes à observer Nathanaël qui devait surement chercher quelque chose pour combler le vide de leur " conversation " Alona posa son regard sur le parapluie.

« Oui ça doit être de famille je suppose. » Un compliment rapide et simple, du Alona dans toute sa beauté. Elle lui sourit tout en retirant sa casquette qui occupait encore sa tête. Son sourire n'était pas aussi éclatant que le sien mais c'était tout ce qu'elle avait en réserve pour l'instant. Pour leur deuxième sujet de conversation ce fut son beau Nathanaël - bah oui parce que pour elle, c'était encore et toujours le sien malgré la séparation et tout ce qui s'en suit - qui se jeta à l'eau.

« Sinon, les cours, la vie, tout le reste, ça se passe bien ? » Ah oui quand même. Alona s'attendait à tout - des blâmes, des demandes d'explications, un sujet plus nul que le sien - mais pas ça. Elle ne s'était même pas imaginer qu'il puisse essayer de s'intéresser à elle - même si ce n'était que pour éviter un silence pesant. Contre toute attente ce soudain intérêt pour la réchauffer de l'intérieur.

« Ca se passe plutôt bien, oui. » Bon il ne fallait pas s'attendre à un miracle non plus. Quoi que ..
« Enfin c'est toujours la même chose, je veux dire. Rien n'a vraiment changé depuis .. tu vois. Toujours les mêmes banalités d'étudiants : club vert, greenpeace, soirées .. bavardages en cours. » A ces mots, elle marqua un temps d'arrêt. Enchaîner plus de trois cinq à la suite n'était vraiment pas pour elle, la preuve. Bien sur qu'il savait tous ça, elle n'avait pas changer ses activités depuis leur histoire. Elle se disputait toujours avec la même fille au club vert de l'université, elle se portait toujours bénévole pour l'association GreenPeace, elle sortait encore tard le soir pour toutes sortes d'évènement et elle se faisait toujours réprimander en cours de français - chose qu'il avait lui même subi lorsqu'il avait changé de place avec Jaiden. Alona mit une nouvelle fois sa main dans ses cheveux d'un geste gêné.

« Donc voilà. Désolé aussi pour la dernière fois .. C'était pas très correct de .. pendant le cours de français .. enfin tu vois. » Ces mots n'étaient pas du tout clairs, elle en avait conscience mais le fait de prononcer le mot ignorer en face de lui lui était comme impossible. IGNORER, IGNORER, IGNORER ! Ça n'avait rien de difficile pourtant mais bon. Elle resta silencieuse pendant quelques minutes, elle se sentait bizarrement de nouveau à l'aise dans ces moments d'absences de paroles mais la politesse reprit le dessus.

« Et toi tout ce passe bien ? » La même question mais en plus rapide. Elle attendit encore quelques secondes puis regarda autour d'elle. Alona n'avait même pas remarqué que l'arrêt de bus s'était empli de moitié. Il acceuillait dorénavant des mères et leurs enfants, des jeunes de new york ainsi que le reste des étudiants qui finissaient plus tard : un beau petit monde quoi ! Agacée par tout ce monde qui l'empêchait d'être à nouveau seule avec son Nath la jeune française se releva pour sortir de l'arrêt de bus. Une fois en dehors elle se retourna vers Nathanaël un léger sourire aux lèvres.
« Ça te dirait d'avancer jusqu'à l'autre arrêt de bus, pour éviter d'être trop .. serrés ? »

    DESOLE POUR LE TEMPS QUE J'AI MIS A POSTER LA REPONSE.
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